Les systèmes d’assistance à la conduite

Les systèmes d’assistance pour la conduite est une sécurité supplémentaire pour le conducteur.

Comment doit réagir un inspecteur de la circulation lorsqu’un candidat souhaite passer l’examen de conduite avec un véhicule privé.

Et si cellui-ci est équipé en série des tout derniers progrès techniques et technologiques.

Depuis 1976, l’Ordonnance réglant l’admission à la circulation routière les relatives aux véhicules les servant aux examens.

Les véhicules servant aux examens ne doivent pas être munis d’accessoirs inhabituels facilitant la conduite.

Cette disposition n’a jamais été adaptée au progrès technique.

Suscitant au sein de l’Association des services des automobiles (asa) des débats autout des aides à la conduite admissibles.

Il n’existe en effet pas de définition claire à ce sujet, et les systèmes d’assistance à la conduite est un sujet vague et flou pour les conducteurs.

Les aides techniques telles que la caméra de recul, l’avertisseur de distance de sécurité ou l’avertisseur de sortie de voie.

Également, l’aide au stationnement ou l’assistant de freinage.

Sont-elles des accessoires inhabituels facilitant la conduite ou sont-elles devenues une évidence.

L’évaluation du conducteur indépendamment des systèmes d’assistance à la conduite

L’inspecteur est tenu d’évaluer dans le cadre d’une course d’examen, si le candidat possède les compétences requises.

Le candidat doit se mouvoir sur la route, en toute sécurité, avec égard envers autrui, dans le respect de l’environnement et de manière responsable.

À savoir que les exigences sont aujourd’hui plus élevées qu’hier.

La haute densité du trafic ainsi que le stress et l’intolérance des autres automobilistes requièrent une bonne vision de la circulation.

Tout en étant capable d’identifier les dangers à temps.

L’emploi d’aides techniques de la voiture facilite la conduite du véhicule et améliore la sécurité.

C’est pour cette raison que l’expert doit être en mesure de juger de l’aptitude à conduire du candidat et indépendamment des systèmes d’assistance.

Le contrôle de certaines compétences en particulier peut également avoir lieu en désactivant les aides techniques ou en effectuant d’autres manoeuvres.

Par exemple, le sens de l’espace, au lieu de se garer en reculant, il doit rouler en marche arrière en tournant.

L’instruction constitue la base de l’examen pratique

L’instruction de base porte sur l’objet de l’examen pratique.

Au moment de le passer on ne peut exiger du conducteur de maîtriser toutes les compétences.

Sachant que certaines ne peuvent être consolidées ou même acquises qu’avec une certaine pratique.

Il convient néanmoins de vérifier que le conducteur a atteint un niveau suffisamment élevé dans certains domaines de compétence.

Afin de se mouvoir sur la route de manière autonome et sûre.

Lors de l’instruction, il est donc essentiel de s’assurer que l’apprenti est capable de remplir les exigences sans l’aide des systèmes d’assistance.

A savoir que s’ils sont utilisés, il doit connaître leur fonctionnalité et pouvoir les utiliser correctement.

L’intégration dans la formation de l’élève conducteur

Tous les moniteurs de conduite n’abordent pas le thème des systèmes d’assistance pour le permis dans le cadre de leur formation.

Il est capital que la formation au permis de conduire s’adapte à l’évolution de la technologie.

Des personnes évoquent de manière significative les système SAC tels que le freinage d’urgence.

Il convient certes de saluer cette initiative, mais tout dépend des informations transmises.

Un cours théorique offrirait l’opportunité de montrer aux moniteurs les avantages, mais également leurs limites et les nouveaux risques qui y sont liés.

Cette appui doit être parfaitement maîtrisée

En principe, les candidats doivent parfaitement maîtriser les systèmes d’assistance.

Savoir les utiliser de manière approprié en situation ainsi que connaître leur fonctionnement en leurs limites.

Les moniteurs de conduite doivent former leurs élèves en conséquence.

Chaque système peut être désactivable lors de l’examen pratique afin d’évaluer la conduite du candidat.

Même lors de situations de circulation compliquées en faisant preuve d’anticipation et de prudence vis-à-vis des autres usagers de la route.

L’expert doit également évaluer l’utilisation correcte et adaptée à la situation des systèmes à la conduite.

Ainsi, il peut décider d’activer ou de désactiver ces systèmes d’aide.

Ils contribuent à l’amélioration de la sécurité sur la route et à la diminution du nombre d’accidents graves.

Néanmoins, ils ne remplacent pas une formation sérieuse des futurs conducteurs.

Auto-école Marterey

Les systèmes d’assistance à la conduite

Le cours de samaritain est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Les systèmes d’assistance à la conduite

Le cours de sensibilisation est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Les systèmes d’assistance à la conduite

Les systèmes d’assistance à la conduite

Les systèmes d’assistance à la conduite