Les voitures connectées
L’arrivée des voitures connectées sur le marché fait l’objet d’un nouveau danger pour la sécurité routière.
Avant tous les voitures représentes depuis des années une sorte de fantasme automobile.
Parce qu’elle est la promesse d’arriver frais à sa destination après un trajet passé à se relaxer.
Du côté des constructeurs, ils se sont engagés depuis plusieurs années dans son développement.
Appâtés par l’énorme potentiel économique qu’elle recèle.
Avantage concurrentiel sur les autres marques et développement de services de robot-taxis.
Le développement de nouvelles solutions de mobilité devient de toutes façons nécessaire.
Dès lors en 2050, une bonne partie de la population mondiale vivra dans des villes.
Ce qui signifie davantage de bouchons potentiels.
Alors que la situation actuelle n’est déjà par enviable dans certaines villes.
Sans sécurité, pas d’avenir pour les voitures connectées
Toutefois, un grain de sable pourrait enrayer cette splendide machine.
Avant même qu’elle ne démarre, c’est le manque de sécurité.
Si les automobiles sans conducteur ne se montrent pas beaucoup plus sûres que les humains, leur acceptation par le public serait compromise.
Pour prévenir cette situation les constructeurs sont engagés dans le développement des voitures connectées.
Afin de les rendre fiables et sûres dans toutes les situations.
Cependant, tous ces efforts pourraient être réduits à néant par les pirates informatiques.
Ceux-ci pourraient d’inviter dans ces voitures connectées via les interfaces Wi-Fi ou Bluetooth.
Par ailleurs à distance ils tenteront de rentrer dans l’interface informatique du véhicule.
Via le réseau téléphonique ou si le véhicule est munie d’une carte SIM.
La voiture connectée permet de générer les données qui seront la base des stratégies de plus en plus digitales des constructeurs.
Les constructeurs ont une telle connaissance de l’usage de leurs véhicules qu’ils travaillent sur une expérience utilisateur.
Et une intégration des services connectés beaucoup plus poussée, où la voiture deviendra notre compagnon de route.
Comme assistant personnel lors des embouteillages ou pour nous garer,utilisant le smartphone.
Pour gagner complètement cette bataille sur le contrôle des clients, le plus difficile pour les constructeurs est de penser la relation au-delà de l’achat.
Aussi de complètement intégrer la fidélisation au sein du réseau de distribution d’entretien et de réparation.
Dans tous ses processus et de penser la relation client de bout-en-bout, en gommant les silos actuels.
Cette dernière pièce du puzzle est à assembler par les constructeurs.
Afin d‘utiliser la voiture connectée pour ce qu’elle est.
Le plus grand outil de fidélisation jamais inventé dans le secteur.
Des ordinateurs connectés sur roues de la voiture
On le comprend comme tous objet connecté une automobile devient vulnérable dès lors qu’elle est reliée à internet.
De ce faite les voitures sont devenues des ordinateurs sur roues.
Pour assurer un service de sécurité de bout en bout il faut agir sur plusieurs éléments.
En raison du véhicule, le réseau de transmission ainsi que les applications.
Les pirates informatiques peuvent exploiter une faille de leur inferface Bluetooth.
Egalement, via le Wi-Fi, brouiller les différents capteurs utilisés par la voiture autonome.
Les senseurs de proximités, caméras, radars et GPS.
Leur but est de faire voir à l’auto une autre réalité et qu’elle puisse prendre des mauvaises décisions.
Bien entendu, les constructeurs mettent au point des brouilleures d’onde.